Note générale :
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Les deux volumes des aventures de Sir Nigel Loring formaient, dans l'esprit de A.C. Doyle, deux romans jumeaux mais bien distincts ("La Compagnie Blanche" et "Sir Nigel"), qui pouvaient se lire dans l'ordre qu'on voulait ; mais dans la mesure où Sir Nigel revient sur la jeunesse du héros de toute l'affaire, en pleine guerre de Cent ans, on peut parfaitement commencer... Il y a du Don Quichotte dans ce roman batailleur, truculent, où les puissants de ce monde n'ont pas le meilleur rôle. Du Shakespeare, aussi. Et l'on ne s'étonne pas que la critique anglaise ait placé d'emblée cette double merveille à la même altitude qu'Ivanhoé.
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